Après quelques années difficiles, Renault revient en force sur le marché automobile continental et continue sa mue vers l’électrique: la dernière Mégane électrique en est le porte-drapeau. Côté nouveautés 2022 est marquée par des restylages de certains modèles de la marque, à l’image du nouveau Kangoo, qui passe aux 7 places en version purement électrique.
2022 c’est également l’occasion de dynamiser la gamme autour de deux modèles phares : construite à Douai dans le Nord de la France, la Mégane E-Tech arrive en force sur les routes hexagonales quand ces dernières s’apprêtent également à accueillir l’Austral, le remplaçant du Kadjar, n’ayant pas eu toute la réussite escomptée par le fabricant français.
Parmi les modes de financement qu’il existe pour acheter un nouveau modèle Renault, nous vous conseillons ceux qui permettent d’éviter les mauvaises surprises liées à l’entretien du véhicule, une hausse des taux d’emprunts ou une décote rapide.
Les moyens d’acquérir une Renault
Prêt affecté, prêt à la consommation ou leasing : les Renault font partie des véhicules les plus vendus sur le territoire. Ce succès est d’autant plus visible sur le segment de la location avec option d’achat puisqu’en 2021, la marque au losange est en top des recherches en France.
Si les solutions de financement sont nombreuses, l’achat d’un véhicule récent comporte de petites subtilités qu’il serait dommage de manquer. Si vous ne bénéficiez pas des fonds nécessaires pour acheter comptant alors les services offerts par la location, notamment la possibilité de conduire une voiture récente avec de faibles mensualités peut s’avérer intéressant.
La Renault Austral débarque
Renault est également synonyme de polyvalence avec ses modèles comme le Captur, la Clio ou la Mégane. Très avantageux en LOA, l’achat d’une Renault en leasing permet de profiter de nouveaux modèles sans être pénalisé par la décote. Grâce à sa nouvelle “Austral”, et son logo Renault prend un virage sec et espère charmer les amateurs de SUV: poste de conduite haut, espace important pour les passagers ainsi que le conducteur. Et pour la ville ? l’Austral a été pensé pour pouvoir s’adapter à la conduite en milieu encombré.
Attendue durant l’été, la Renault Austral sera bien plus élégante que le Kadjar et embarquera des technologies hybrides. Son habitacle et ses options de série bien plus raffinées devraient lui permettre de concurrencer les 3008 de Peugeot et d’autres véhicules comme le Tiguan de Volkswagen. C’est en tout cas le souhait de Renault qui propose une motorisation variée et surtout, le maintien d’une transmission en 4×4 pour certaines versions, ce qui devrait être apprécié par plusieurs utilisateurs.
En 2023, l’Austral devrait s’implanter en version 7 places.
All-in sur la Mégane E-Tech
Pour son premier modèle de grande taille purement électrique, Renault attend beaucoup de la Mégane E-Tech. Après quelques semaines de commercialisation, les retours sont bons et les premiers automobilistes propriétaires semblent satisfaits.
Cinquième génération de Mégane, la E-Tech est la première à ne pas posséder de moteur thermique. Cette arrivée sur le marché des berlines électriques ne pouvait se faire sans une autonomie décente. En fonction des versions, la Renault E-tech offre entre 300 et 450 Km d’autonomie. Pas mal, nous direz-vous mais encore loin de la référence du genre : la Tesla Model 3 qui offre 602 Km d’autonomie en mode “grande autonomie”.
On regrettera la vitesse plafonnée à 160 kilomètres/heure et un couple ne dépassant pas les 300 Nm.
Exceptées ces caractéristiques techniques, la Mégane E-Tech a mis les petits plats dans les grands et devrait charmer de nombreux habitués de la marque au losange, toutefois avec une entrée de gamme autour des 35 000 euros.
Un ticket d’entrée plutôt élevé mais qui sera rentabilisé sur la longueur grâce aux économies sur les énergies fossiles.